Listing 1 - 10 of 143 | << page >> |
Sort by
|
Choose an application
Le nombre de personnes infectées par le VIH/SIDA continue de croître dans la plupart des pays de l’Afrique Subsaharienne. Le Rwanda na pas été épargné par cette pandémie mondiale. La prévalence en 1997 était de 12% en milieu urbain et de 10,8% en milieu rural. Tenant compte des guerres qui règnent encore dans la région des Grands lacs, le génocide des Tutsi et les massacres de 1994, il y a eu des mouvements de migration de la population vers l’intérieur et vers l’extérieur de la région, ce qui a rendu difficile les moyens de surveillance, de prévention et de lutte contre l’infection par la VIH. En se reconstruisant, les pouvoirs politiques ont mis et continuent de mettre en place de nouvelles politiques de lutte contre le SIDA afin de stabiliser son expansion et de faire face à ses effets néfastes sur le développement du pays.
La problématique du SIDA nous a interpellée pour trois raisons :
- son ampleur épidémiologique surtout chez les jeunes, et plus particulièrement chez la femme ;
- son impact socio-économique pouvant aller jusqu’à ralentir, voire anéantir le développement du pays ;
- en tant que professionnel de la santé, nous avons le devoir de promouvoir la prévention du SIDA partout où l’épidémie sévit et sans laisser de côté les soins aux personnes déjà infectées.
L’étude que nous savons faite a eu lieu à l’hôpital de district de Kabgayi, au Rwanda. Note hypothèse de travail : « le fait de savoir qu’un malade est séropositif, pour le personnel médical et paramédical, va déterminer ou influencer un accompagnement spécifique dans cet hôpital de kabgayi ».
Dans ce travail, nous allons étudier un des aspects de la problématique du VIH/SIDA, qui est la prise en charge des personnes vivant avec le VIH à l’hôpital de kabgayi. Il n’existe pas encore de traitement curatif universellement disponible ni de vaccin de cette maladie, en plus de cela elle est stigmatisée. Afin de mener à bien toute action de lutte et de soins, il faut mettre en place une politique de soins de santé en tenant compte de la culture de la population et des structures des soins de santé appropriées.
Cette étude déterminera dans quel contexte les personnes séropositives on appris leur séroposivité, mettra en évidence le suivi qui leur est réservé après l’annonce du diagnostic, les mesures mises en place pour répondre aux besoins spécifiques des personnes vivant avec le VIH à l’hôpital de kabgayi. Nous proposerons de créer une équipe « spécialisée » à l’hôpital de kabgayi, afin d’adapter l’offre des soins (médicaux et paramédicaux) à la demande des personnes séropositives et des malades du SIDA.
Le présent mémoire est structuré en deux parties : une partie théorique et une partie pratique.
Dans la première partie, nous allons évoquer le cadre conceptuel dans lequel nous inscrivons notre recherche. Nous allons y évoquer l’importance épidémiologique du SIDA au Rwanda, ses impacts à des niveaux différents, ce qu’est le VIH, les méthodes de diagnostic et de traitement et enfin, en quoi consiste la prise en charge spécifique des personnes vivant avec le VIH/SIDA en milieu hospitalier.
Dans la deuxième partie, nous présenterons et discuterons les résultats de l’étude réalisée sur la prise en charge des personnes vivant avec le VIH/SIDA à l’hôpital de kabgayi.
Enfin, nous proposerons des pistes en vue de l’amélioration du système de prise en charge des séropositifs à des niveaux différents (hôpital, district, national,…).
Choose an application
Reproductive Tract Infections. --- Organes génitaux femelles --- Infections.
Choose an application
Choose an application
Apparue en Asie début 2003, le Syndrome Respiratoire Aigu Sévère (SRAS) a gagné tous les continents. On ne peut que s'inquiéter de l'apparition de ce virus inconnu qui semble en constante mutation. À ce jour, 500 personnes en sont mortes dans le monde, 7000 cas ont été déclarés. -- -- Ce livre répond à toutes les questions que le grand public se pose : Quelles sont les sources de l'épidémie? Comment se transmet-elle? Comment en reconnaître les symptômes ? Que faire en cas d'alerte? Quelles sont les zones à risques? -- -- Mais aussi : Quelles sont les chances de survie en cas de transmission du virus? Quels espoirs pour les malades? Un test existe-t-il? Un porteur sain peut-il contaminer autrui? Les fréquentes mutations du virus le ren dent-elles invulnérable au vaccin.
Choose an application
Les infections pneumococciques demeurent plus que jamais un problème de santé publique dans le monde. Ainsi, aux États-Unis, le pneumocoque représente une des dix principales causes de mortalité, il y cause en moyenne 40 000 morts par an (Immunize organisation, 1999) avec une incidence de 160 cas pour 100 000 chez l’enfant de moins de 2 ans et de 50 à 63 cas chez les adultes de 65 ans et plus (Plouffe, 1996). Il est en outre responsable de 40 000 à 120 000 admissions en milieu hospitalier par an. Peleman et al. (1999) ainsi que Peetermans (2000) estiment l’incidence du pneumocoque en Europe est de 9 à 27 cas pour 100 000 personnes dans l’ensemble de la population et de 31 à 80 cas pour 100 000 habitants chez les plus de 65 ans. Selon l’O.M.S. (1996), les pneumocoques seraient responsables chaque année d’environs un million de décès dans le monde. L’incidence annuelle en Belgique du pneumocoque est estimée à 8,9 pour 100 000 habitants (Van Loock F., Goosens H. et al., 2000) mais il est probable que ce chiffre sous estime la réalité. En effet, par déduction des chiffres américains, on peut supposer qu’en Belgique l’incidence des pneumonies à pneumocoques est de 20 000 cas par an (Conseil supérieur d’hygiène, 2002) et que la mortalité par pneumonies à pneumocoques est de 2000 décès par an, soit environ 9 personnes tous les jours (Vandepitte J., 1993).
A la différence de l’haemophilus influenzae b, pour qui un seul stéréotype est invasif, environ 90 stéréotypes de pneumocoques sont pathogènes pour l’homme et 23 sont considérés comme particulièrement pathogènes (Reinert P., 2000). La bactérie se transmet par voie aérienne et par contact direct, et touche principalement les enfants, les personnes âgées et les sujets fragilisés. Pour Austrian R. (1975), les effets néfastes de cette infection semblent dus aux dommages physiologiques irréversibles causés par les pneumocoques durant les 5 premiers jours qui suivent la maladie. Cet organisme est également une cause de morbidité et de mortalité élevées malgré la grande efficacité in vitro des antibiotiques
Choose an application
Choose an application
Choose an application
Choose an application
Choose an application
Listing 1 - 10 of 143 | << page >> |
Sort by
|